L'extension du fichier n°4 était en .zip
"Celui-là, c'est à toi !"
Elle l'ouvre avec son code. Je lis.
Comme pour son premier fichier tiré au sort (article relatif non présent sur le blog), l'énoncé est simple, rapide à lire et ne démontre pas une force d'imagination percutante.
Je ne suis pas surpris.
Je connais ma femme.
Elle choisit d'aller prendre une douche avant moi. Je reste sur l'ordi. Deux, trois choses à finir.
Je l'entends qui fouille dans ses affaires, qui ouvre ses tiroirs.
Je souris.
J'aime bien quand elle se prépare pour moi. Je me demande toujours d'où elle sort ses artifices et comment cela est possible que je ne connaisse pas encore tout de ses atouts. Elle arrive
toujours à me surprendre.
Elle est adossée au bureau.
Robe très courte. Noire.
Jambes nues. Talons Hauts.
Je m'approche d'elle et pose mes mains sur ses hanches. Nos bouches se touchent alors que mes mains glissent vers sa poitrine cachée par la soie souple de sa robe. Ses baisers se font plus
insistants, plus fougueux.
Je sors un de ses seins et me penche pour l'embrasser pendant que je prends l'autre dans main avec force. Elle penche la tête en arrière pour se laisser aller au plaisir de la caresse. Je sais
qu'elle aime particulièrement quand je m'attarde sur cette partie de son corps, mais elle ne me laisse que rarement l'occasion d'en profiter pleinement. Je pense qu'elle se soucie plutôt de moi,
sachant que mes préférences sont ailleurs.
Nous nous embrassons encore. Nos baisers sont sexuels.
Cette fois-ci, ma main se dirige directement entre ses cuisses. J'ai besoin de soulever un peu sa robe pour atteindre son sexe. Elle porte une culotte fendue. Le plaisir des yeux sans la
contrainte d'ôter les dessous.
Son entre-jambe n'est pas vraiment humide. Qu'à cela ne tienne, je vais faire en sorte qu'il le devienne. Je sais.
Mes doigts se font d'abord lourds et je caresse sa vulve entière avec des mouvements de va-et-vient. Nous nous embrassons toujours. Mon majeur se fraie une chemin entre ses petites lèvres. Nous
nous embrassons encore.
Il s'arrête aux alentours du clitoris et commence des mouvements de gauche à droite. Sa bouche quitte la mienne et un léger souffle en émane. J'abandonne son clitoris pour un instant et je
penètre son sexe, toujours avec le majeur. De l'autre main, mettant mon buste un peu en arrière, je malaxe sa poitrine, allant d'un sein à l'autre, me penchant de temps en temps pour les prendre
à pleines lèvres.
Elle, durant tout ce temps, elle a pris mes testicules dans ses doigts et les malaxe pendant que la paume de sa main frotte mon sexe. C'est vraiment très excitant.
Mon pubis est maintenant collé à elle comme si je la prenais debout, là, mais c'est mon doigt qui "travaille". Elle est bien humide cette fois-ci. Et son souffle s'est transformé en
râle.
C'est le moment que je choisis pour retourner vers son clitoris. L'arrière de sa robe est encore à moitié sur ses fesses. Je la soulève encore un peu pour les libérer complètement et j'en prends
une de ma main libre. J'adore lui tripoter les fesses et je ne me gêne pas... Tout en la masturbant.
Je sens son plaisir qui monte. Elle s'accroche à moi. Son souffle se saccade. Elle ne contrôle plus que difficilement le son de sa voix.
Et c'est l'explosion de plaisir.
Elle a jouit debout, contre le bureau, par mes mains.
Lui laissant à peine le temps de reprendre son souffle, je lui suggère à l'oreille de ne pas attendre pour réaliser le contenu de son fichier.
Elle acquiesce.
Elle se met alors à 4 pattes sur le bas du lit et je me place derrière elle, debout.
Je suis excité comme un dingue, mais mon sexe n'est pas totalement raide. Je pousse sa robe vers ses hanches et caresse ses fesses en me planquant contre elle. Sa culotte noire se détache bien
sur son cul blanc de black et malgré le fait qu'elle soit fendue, elle la pousse sur le côté pour m'inviter à la pénétrer. Ce que je fais.
C'est une sensation que j'adore. Quand je sens affluer le sang dans ma verge et que cette dernière grossit et se durcit vraiment alors que je suis déjà en elle.
Je commence mes allers-retours les yeux fixés sur mon sexe qui entre et sort, brillant légèrement à la lumière par la lubrification de sa chatte.
Mes mains sur ses hanches, je la pénètre en de longs et réguliers va-et-vient. Parfois, j'essaye d'aller le plus loin possible. Et quand j'y suis, j'oscille mon bassin quelques secondes puis je
reprends mon rythme.
Je sens l'approche du plaisir.
Je lâche ses hanches et je tente d'attraper ses pieds bottés par les chevilles. Elle comprend et m'aide en les levant juste ce qu'il faut.
Je les tiens dans chacune de mes mains. Je me fais penser à un paysan qui chemine avec sa brouette. C'est un étrange sentiment de domination que j'ai du mal à définir. Sans pratiquement la
toucher, je la sais à ma merci.
Ma queue entre en elle par des coups de butoirs profondément assénés. Et il n'existe plus pour moi que son cul lorsque la jouissance m'emporte à son tour.
Je suis resté comme cela un bon moment. Mon sexe ancré dans le sien, ma tête en arrière les yeux fermés et ses chevilles toujours prisonnières de mes mains.
Elle m'a laissé ainsi m'abandonner au relâchement qui suit le plaisir, le temps que j'ai voulu...